« Il fallait faire le beau jeu, prendre des risques » : quand la légende transmettait son art.

Rédigé le 09/04/2024

Mort d’André Boniface.

« Il fallait faire le beau jeu, prendre des risques » : quand la légende transmettait son art.

En 1969, un an après la mort de son frère Guy, André Boniface revenait sur les terrains comme entraîneur-joueur du Stade Montois.

Le temps de léguer la philosophie du jeu à la Montoise aux Nadal, Godemet ou Castaignède.

D’André Boniface, on connaît les envolées balle en main, le titre à l’issue du derby de 1963 avec le Stade Montois, les quatre Tournois des V Nations avec l’équipe de France.

Mais la légende des jaune et noir s’est aussi construite par la transmission de son idée du jeu. Une philosophie de l’esthétisme et de l’obsession du geste juste que le trois-quarts centre a pu imprimer dans la tête d’une génération de Montois. Parmi lesquels Max Godemet, Pierre Castaignède ou Patrick...